Année : 2018

Bonjour et bienvenue sur le blog de Mon Atelier Bien-être & Art-thérapie.

Aujourd’hui je vous ai préparé une petite vidéo  pour vous présenter  un atelier bien être d’initiation à l’art-thérapie. Cet atelier d’une durée de deux heures se pratique en groupe, mais peut également être proposé en individuel. Il se déroule en deux parties, la première partie est sous forme de voyage sonore, la deuxième partie est orientée  sur le plaisir de créer en toute liberté.

Je vous invite à découvrir cette vidéo et j’espère proposer d’autres ateliers prochainement.

Je vous remercie d’avoir regardé cette vidéo.

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Merci

A très vite 😉

« On ne peut jamais savoir ce qu’il faut vouloir car on n’a qu’une vie et on ne peut ni la comparer à des vies antérieures ni la rectifier des vies ultérieures…. Il n’existe aucun moyen de vérifier quelle décision est la bonne car il n’existe aucune comparaison. Tout est vécu tout de suite pour la première fois et sans préparation. »

Milan KUNDERA
L’insoutenable légèreté de l’être

En faisant un peu de rangement chez moi, je suis tombée sur cette photo prise lorsque j’avais 14 ans. C’est une photo polaroïd que j’avais prise avec une copine, on s’amusait à faire des tableaux. Lorsque que je l’ai retrouvée, j’ai tout de suite fait le lien avec une autre photo prise tout récemment. Tant d’années sépare ces deux photos et soudain je me demande si j’ai fais les bons choix à un moment de mon histoire.

Le regret est une chose fréquente pour tout le monde  mais  la symétrie de ces photos me renvoi à mes propres hésitations : «  Je le fais, je le fais pas » .

Doit-on regretter ce que l’on a fait, ou ce que l’on a pas fait ?

Lorsqu’on interroge sur cette question la plus part des personnes éprouvent davantage de regrets par rapport à des choses que l’on a faites. En effet, il semblerait que les échecs sont plus douloureux à court terme sur des actions qui n’ont pas fonctionné. Cependant sur le long terme et à l’échelle d’une vie, la tendance s’inverse et les plus grands regrets sont les choses que l’on a pas faites.

Le temps qui passe fait évoluer les regrets et avec le recul on prend la mesure de nos inactions et évitements .

Les problèmes liés à l’estime de soi et les émotions intenses comme la colère, la honte, la culpabilité, la frustration sont souvent à l’origine des grands regrets. Les émotions plus discrètes comme la mélancolie, la nostalgie peuvent aussi de façon durable influencer nos inactions.

Le ressenti émotionnel face au souvenir peut prendre différents aspects : soit positif ou négatif. Il est important de prendre la juste distance pour éviter le ressassent et la réactivation des échecs qui induisent un fonctionnement à basse estime de soi.

Parfois il n’y a pas de choix possible.

Il reste toutefois la possibilité de transformer les choses dans la meilleure direction possible. Agir en écoutant son coeur permet de se libérer de l’idée de faire des mauvais choix.

La vie est en perpétuel mouvement et rien n’est jamais définitif. Il n’est jamais trop tard pour apprendre et toutes les occasions peuvent être saisies pour profiter du temps qu’il reste à vivre et faire bon usage des regrets. Toute expérience de la vie est une occasion d’apprentissage .

Il est inutile de se comparer aux autres, c’est avec soi que cette comparaison prend son sens, c’est elle qui permet de progresser chaque jour.

A suivre ….

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A très vite 😉

Bonjour et bienvenue sur le blog Mon Atelier Bien-être & Art-Thérapie pour la suite de l’article intitulé : Le jeu des émotions. Comprendre nos  humeurs peut apporter beaucoup de bénéfices. Lorsque nous sommes confrontés à nos propres émotions, le fait de  les comprendre permet de faire face  aux difficultés de la vie et d’être mieux équipés, de trouver un meilleur équilibre et de mener à bien ce qui nous tiens à coeur.

Je vous propose quatre nouvelles cartes à explorer :

• En découvrant  ces cartes restez attentif  à vos réactions physiques et émotionnelles.
• Essayer de ressentir pleinement ces émotions, vous pouvez-faire référence à une situation que vous avez vécue si besoin.
• Choisissez ensuite  les questions ou l’affirmation positive.
• Si vous choisissez de répondre aux questions, faites le par écrit, c’est une façon  d’explorer pleinement ses pensées et  ses sentiments. Le fait de mettre par écrit ses pensées et ses sentiments  permet de prendre du recul,  de résoudre des problèmes, de  se projeter et d’être créatif. Il y a un effet thérapeutique.
• Si vous choisissez les affirmations, lisez  les à voix haute et plusieurs fois par jour.
• Vous pouvez également commencer par les questions et lire les affirmations ou inverser.
• La couleur de l’émotion correspond  à celle des chakras  en lien avec la région du corps  concernée par les émotions. Il est possible de travailler la zone à renforcer.

Satisfait, Frustré, Courageux, Regret

Satisfait

Courageux

Frustré

Regret

Amusez-vous à identifier et explorer vos émotions et vos humeurs et découvrez  plus sur vous même.  En développant  votre intelligence émotionnelle  ou celle de vos proches  vous       améliorer vos relations, votre confiance en vous et votre bien être. Cette approche développée par  Andréa Harrn peut  être utilisée également auprès des enfants.

Dans un prochain article je vous présenterai d’ autres émotions.

A suivre ….

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A très vite 😉

Bienvenue sur le blog Mon Atelier Bien-être & Art-Thérapie.  Aujourd’hui  je vous propose une vidéo intitulée « Parfois je pense, parfois je suis » c’est une citation de Paul Valéry.

J’ai été inspirée par cette citation, car  de plus en plus souvent  nous sommes sollicités de toute part par toutes sortes de choses  qui viennent interrompre  notre attention.  Parmi les perturbateurs il y a toutes les nouvelles technologies, mais aussi  la rationalisation permanente des pensées qui vient étouffer l’intuition.

Etre victime de sa propre logique favorise l’anxiété et  les troubles  dépressifs.   A force de  « trop penser » nous nous éloignons  des choses essentielles  de la vie et de la manière d’être. Le processus peut s’installer inconsciemment dans les moments plus difficiles.  Pour y remédier il faut entraîner  l’esprit a aller vers plus de liberté. Il existe de nombreuses techniques pour nous y aider.

La façon la plus simple  est de diriger son attention  vers l’instant présent et rester présent à l’instant par les sensations physiques, la respiration, les bruits , les odeurs et  observer les pensées qui viennent à l’esprit. En adoptant un regard neutre, sans jugement.  Ce moment de connexion au présent peut être utilisé   dans les situations douloureuses pour tenter de diminuer le trop plein d’émotion ou encore  lorsqu’on rencontre des problèmes existentiels.

Cette rencontre avec la réalité  permet de retrouver une forme d’autonomie, de réguler le mouvement des pensées et des émotions négatives.  Cette action réalisée en toute conscience nous indique que nous sommes bien vivant et que nous avons une capacité d’action. C’est aussi une manière de renforcer l’estime de soi,  de ressentir que nous avons une valeur et une place au sein de la communauté.

A suivre

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A très vite 😉

Lorsque les schémas de vie négatifs se répètent  et viennent compromettre notre épanouissement de façon durable c’est très difficile de faire la part des choses. On sent que quelque chose ne va pas bien, sans trop savoir pourquoi ou connaître l’origine du problème et bien souvent on en reste là. En effet, c’est particulièrement pénible d’admettre que à un moment donné de notre propre histoire il y a eu des événements qui peuvent montrer  qu’on a souffert de délaissement.

Il existe quatre attitudes affectives qui permettent donner quelques indices sur un type de personnalité  dite abandonnique.  Les traits de personnalités sont plus ou moins forts avec des passages d’un registre à l’autre, pouvant être  l’origine du mal être.

Ainsi a travers toutes les expériences vécues même avant la naissance et après c’est un mécanisme inconscient qui s’est installé au fil du temps et qui amène ce schéma répétitif des expériences affectives peu satisfaisantes.

Voici les quatre attitudes qui donnent des indications sur ce type de personnalité.

 Les 4 attitudes affectives de la personnalité abandonique

1-Le besoin de réassurance.

Le besoin de réassurance et l’ instabilité affective sont les principaux moteurs de « la conquête à tout prix ».  Passer d’une conquête à une autre dans la crainte d’une éventuelle séparation est une sorte de filet de sécurité pour ne pas rester seul. Les peurs liées à la vie de couple, l’investissement dans une relation et la hantise d’être trahi viennent entacher  la vie à deux.  Les situations d’échecs se succèdent et entraînent un sentiment de grand désespoir.

2-Le manque de confiance en soi.

Le désir de relation pleine et entière est bien présent , mais l’engagement n’est pas total car des blessures antérieures sont trop lourdes. La peur d’être quitté est projeté en avant , elle s’accompagne par la peur de ne pas être à la hauteur et de décevoir l’autre. Le manque de confiance en soi est souvent un des signes du délaissement précoce : je n’ai pas suffisamment de valeur sur le plan affectif et intellectuel et je ne suis pas digne d’affection. L’impression d’être un imposteur vient s’ajouter par la suite, dans l’idée où la personne prêtant être quelqu’un de bien alors qu’elle pense être tout le contraire compte tenu du délaissement qu’elle a connue. Ainsi le scénario peut se répéter inlassablement.

3-La peur et la culpabilité

La peur de se retrouver seul amène des comportements de surinvestissement dans un ou plusieurs domaine comme par exemple le travail, le sport, les enfants… Le sentiment de «grand vide» et de tristesse est présent sans véritable explication. Toutes les émotions non reconnues par le passé et non exprimées sont restées enfouies, le mental a indiqué la direction de vie à prendre et a empêché de prendre conscience du ressenti face aux événements déclencheurs. Ainsi les craintes, les doutes et les remords nourrissent le sentiment de culpabilité vis à vis de la relation.

4-L’organisation du rejet

Une autre attitude fréquente consiste à ne laisser à l’autre aucune possibilité de l’aimer. Il s’agit là d’une souffrance non exprimée qui a engendré de la culpabilité. La personne a le sentiment de ne pas correspondre à ce que l’autre attend et est certain que la rupture est inéluctable. Lorsqu’elle se produit c’est alors une nouvelle preuve qu’elle ne peut être aimée. La colère souterraine est alors aggravée, bloquée par le mental qui vient alimenter le sentiment de culpabilité.

Ces schémas peuvent se reproduire indéfiniment, jusqu’à ce qu’il y ai prise ce conscience, qu’il est possible d’agir et de stopper ce cercle vicieux.

Toutes ces attitudes sont totalement inconscientes et provoquent des schémas d’abandon dans la vie adulte. La colère antérieure qui n’a pas été exprimée à la suite d’un événement reste bloquée à l’intérieur et crée une tension qui peut dégénéré à la longue en maladie. Chaque nouvelle situation d’abandon viendra aggraver l’intensité de la colère et de la souffrance.

Il existe toutefois des moments de bonheur et de bien-être mais avec cette impression que quelque chose « cloche ». Ces moments seront alors rares et de courtes durées car le mental va aider à les briser par des comportements destructeurs.

Il est possible que la recherche d’une relation parfaite pure et sans ombre devienne une véritable quête, voire une obsession. Celle-ci est pourtant illusoire car la perfection souhaitée n’existe pas et  ne pourra être atteinte, elle conduira inévitablement  la relation à l’échec.

Le manque d’estime de soi et le sentiment d’autodévalorisation s’inscrit alors dans un jugement de valeur qui est au coeur de la vie de la personne.

Faire ce constat  est important  car il permet  d’entrevoir  des possibilités d’actions à mettre en oeuvre pour une  seule chose qui compte réellement  :  Vivre bien et heureux.

A suivre…

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A très vite